aujourd’hui, j’ai envie de parler d’un mot qui pique un peu.
Un mot qu’on admire chez les autres… mais qu’on oublie souvent de cultiver chez soi.
Le GRIT.
Il n’a pas de vraie traduction en français.
Mais si je devais essayer, je dirais :
-
- de la ténacité
- de la niaque
- du feu intérieur qui dit “je continue” quand tout en toi dit “j’en peux plus”.
Le GRIT, c’est cette compétence qu’on découvre souvent dans les tempêtes.
Pas dans les moments faciles.
C’est celle que j’ai mobilisée quand j’ai envoyé mon Pitch deck au 100 ème investisseur.
Celle que j’ai trouvée quand j’ai postulé pour la 2ème, 3ème ou 4ème fois à des concours de pitch (et enfin gagner)💪🏻
Celle que je cultive encore, chaque jour, en étant entrepreneure dans l’EDTECH, l’un des secteurs les plus durs de la tech 😅
🧠 Le GRIT, selon la psychologue Angela Duckworth, c’est la combinaison de la passion et de la persévérance à long terme.
Pas juste travailler dur.
Mais travailler dur encore et encore, même quand c’est flou, lent, incertain.
Pourquoi c’est une soft skill essentielle aujourd’hui ?
Parce qu’on vit dans un monde de zapping.
Et que tenir dans la durée est devenu un acte de foi.
Voici 5 micro-pratiques que je cultive pour nourrir mon GRIT au quotidien :
1️⃣ Me répéter : C’est difficile, mais pas impossible.
2️⃣ Reconnaître chaque petite avancée, même minuscule.
3️⃣ M’autoriser à flancher… mais pas à abandonner.
4️⃣ Transformer les “non” en feedback (même si ça pique 😅).
5️⃣ M’entourer de gens qui croient en moi, même quand moi j’y crois moins.
Le GRIT, ce n’est pas inné. C’est un muscle.
Et comme tous les muscles, il se travaille.
Et vous ?
Dans quel domaine de votre vie vous sentez-vous appelé à cultiver plus de GRIT en ce moment ?
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